Il n'y avait nul lieu sur terre plus tranquille.
Le cabanon de pierre, blotti contre la colline,
respirait le thym sauvage. Le soleil frappait
les murs usés par les étés. L'air, plein de silence,
n'était troublé que par le chant lent des cigales.
Cet abri simple gardait les rêves d'une vie ancienne.
Commentaires
Bonjour chère Baladine,
J'aime bien ce texte et la photo.
C'est toujours un plaisir de venir sur ton blog.
Passe une bonne journée, gros bisous.
Florence
Chaque pierre, porte l’empreinte des jours
Indélébiles souvenirs gravés dans l’éternité
Les montagnes, comme dans une danse d’amour
Étreignent ses murs dans un panorama de liberté.
Très joli poème qui sent la nostalgie.
Bon mercredi.Amitiés